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Présentation des voeux à la presse

Mesdames, Messieurs,

Chers Amis,

Bienvenue à chacune et à chacun pour cette troisième cérémonie des
voeux ! Elle est, pour moi, tout sauf rituelle ! Je tiens à vous dire combien
je suis heureux et fier d’être le ministre de la Culture et celui de la
Communication, en charge, au sein du Gouvernement, de tous les
métiers de la presse et de la communication. Je vous adresse mes voeux
les plus chaleureux et les plus sincères, ainsi qu’à toutes celles et à tous
ceux qui exercent ces métiers.

Pour la plupart d’entre vous, je le sais, votre métier est beaucoup plus
qu’une profession, il est une responsabilité, mais aussi un engagement,
une éthique, une exigence, et d’abord une passion de l’information, de
l’actualité, de l’événement, de l’histoire en train de se faire.

Permettez-moi
de vous dire que j’ai la même passion que vous, dans le respect,
bien évidemment, de votre indépendance, de votre liberté. L’actualité est
une contrainte. Elle est aussi une rencontre, elle est une chance.

Trop de journalistes paient cet engagement du prix le plus fort, celui de
leur vie, en portant témoignage des conflits, des fractures, et des
violences du monde. 2006 fut à cet égard une année noire. Depuis trois
ans, près de deux cents journalistes, près de quarante collaborateurs ont
ainsi perdu la vie dans l’exercice de leurs missions. Cela nous rappelle à
notre devoir de tout faire pour que soient respectés et défendus, dans
notre démocratie et partout dans le monde, le pluralisme et la liberté de la
presse, valeurs fondamentales, principes fondateurs de notre
République.

Préserver le pluralisme de la presse écrite confère à l’Etat une
responsabilité particulière. Depuis trois ans, l’Etat a conforté
durablement les conditions de l’indépendance économique et du
développement futur de la presse. C’est sans précédent. Qu’il s’agisse de
la modernisation des entreprises, d’actions innovantes, ou de la
recherche d’une plus grande autonomie financière, par le renforcement
de leurs fonds propres, par le biais de déductions fiscales applicables à
l’impôt sur les sociétés ou aux dons aux fondations qu’elles vont créer.

Dire cela n’est pas faire de l’autosatisfaction ; c’est affirmer une volonté
dans la durée, cette volonté devra bien sûr prendre en compte toutes les
évolutions nécessaires. Dire cela c’est aussi récuser solennellement les
propositions d’interruption du système français des aides à la presse. Il
n’en est tout simplement pas question. En tout cas, dans le crâne, dans
l’esprit et dans les projets de ceux qui s’inscrivent dans la majorité
présidentielle !

Cela est pleinement justifié par le fait que la liberté, l’indépendance et le
pluralisme de la presse sont essentiels au débat démocratique.

C’est de valeurs, de leurs traductions en actes et en projets, que je veux
vous parler aujourd’hui, au seuil de cette année décisive pour la France.

Valeurs de l’histoire et de la mémoire, qui sont au coeur des
missions de ce ministère dont je suis fier. Plus que d’un devoir qui
s’impose, il s’agit d’un travail qu’il nous revient de mener à bien, pour
perpétuer et transmettre la mémoire, mais aussi pour lutter contre l’oubli.

L’hommage solennel que le Président de la République rend aujourd’hui
même, au nom du peuple français, aux Justes de la Nation, au
Panthéon, est d’abord le témoignage de ces Françaises et de ces
Français qui, aux heures les plus sombres de notre histoire, ont fait le
choix de la tolérance, de la solidarité, de la fraternité, le choix du
courage. En sauvant une vie, ils ont sauvé l’univers tout entier.

Cette part de lumière, cette part d’humanité, elle fait partie du patrimoine
de notre pays, de notre culture, de notre identité, de nos racines. Notre
patrimoine n’est pas fait que de ces belles et vieilles pierres qu’il nous
incombe de protéger, de conserver, de restaurer et d’animer. Il est aussi
fait de ces valeurs qu’il est de notre responsabilité de faire vivre, de faire
partager et de transmettre.

C’est un très beau symbole de notre attachement à ces valeurs que
le Premier Ministre ait annoncé, devant la magnifique cathédrale
d’Amiens, les moyens supplémentaires en faveur du patrimoine,
des monuments qui sont, partout en France, les témoins vivants de
notre histoire. Je vois aussi un très beau symbole dans le fait que
le premier geste du candidat que je soutiens à la Présidence de la
République soit de rendre hommage, au Mont Saint Michel, à l’un
des plus beaux fleurons de ce patrimoine, emblématique de la
fierté de notre pays et de la force de nos valeurs.

Il n’est pas de mission plus urgente et plus importante pour l’avenir
que de créer, sur la base de ces valeurs, une dynamique de
réconciliation.

Telle est la mission de ce ministère. Tel est le sens de mon travail,
mais aussi, au fond, de celui de l’ensemble des métiers de la culture et
de la communication. Je pense, en leur adressant mes voeux à travers
vous, aux artistes et aux techniciens du spectacle vivant, de
l’audiovisuel et de la communication, à tous les créateurs, aux
producteurs, aux diffuseurs, aux architectes, aux conservateurs, aux
archéologues, aux professionnels du patrimoine, des archives et du
livre, aux artisans d’art, à l’ensemble de ces talents, des compétences,
des savoir-faire qui font la richesse, la diversité, le rayonnement de notre
culture.

Je suis heureux et fier d’être le ministre de ces vocations et de ces
métiers, de servir ces valeurs et d’agir au service de la culture.

Agir au service de la culture, c’est, je l’ai dit, sauvegarder et mettre en
valeur notre patrimoine, en continuant à tout faire pour additionner les volontés et les énergies, après les décisions importantes qui ont été
prises, en 2005 et en 2006, pour lui apporter les moyens nouveaux, pour
faire fructifier ce capital d’avenir, que nous avons entre nos mains.

C’est implanter le Louvre à Lens, en plaçant la culture au coeur d’une
véritable stratégie d’attractivité et de cohésion sociale pour une ville,
pour une région, pour notre pays, pour l’Europe. C’est ouvrir le Musée
du Quai Branly, dont le succès témoigne de la force du dialogue des
cultures et des civilisations. C’est étendre l’influence de la culture
française dans le monde, en permettant à nos plus grands musées de
mener à bien de nouveaux projets de coopération scientifique et
culturelle, comme celui que nous négocions avec les Emirats arabes
Unis, comme avec la Chine, sans renoncer bien sûr à toutes les valeurs
et à tous les principes sur lesquelles est fondée notre politique
muséographique.

C’est permettre à la Comédie-Française de renforcer son rayonnement
sur les écrans de France Télévisions et ses tournées en France et audelà
de nos frontières. C’est permettre au public enthousiaste de Pékin,
il y a un peu plus d’un an, mais aussi à celui de Tours, après-demain,
d’applaudir le magnifique ballet de l’Opéra national de Paris. C’est
rouvrir la salle Pleyel et lancer le chantier de la Philharmonie de Paris.

C’est, grâce à l’action décisive du Président de la République, avoir
obtenu la création d’un établissement public pour le Grand Palais.

C’est accueillir, au Grand Palais, la vitalité et la diversité des talents des
cultures urbaines, en leur permettant de rencontrer de nouveaux publics,
dans une dynamique où, quelques semaines auparavant, la Biennale
des antiquaires donnait un rayonnement mondial à la France, et
quelques semaines avant qu’Anselm Kiefer se voit confier cet écrin pour
une création monumentale.

Dialogue des époques, dialogue des expressions artistiques, dialogue
des cultures. Respect pour chacun, sans cloison, mais avec
réconciliation. C’est inscrire dans la durée le succès de la Force de l’Art,
qui fait déjà partie du paysage des événements culturels français et
internationaux, sans attendre la deuxième édition de cette nouvelle
triennale. C’est bâtir sur l’Ile Seguin un nouveau pôle européen de
création contemporaine.

C’est faire de chaque lieu une chance, en permettant, par exemple, à
des milliers d’enfants et de jeunes qui ne partent pas en vacances de
découvrir les richesses de notre patrimoine et de nos créations, au
château de Fontainebleau, avant de la généraliser dans chaque région.
C’est l’ouverture la plus large possible de tous les lieux.

C’est faire de la culture l’aspect fondamental du projet politique
européen, par exemple, en créant, à l’occasion du cinquantenaire
du Traité de Rome, le label du patrimoine européen.

C’est faire de l’entrée en vigueur de la convention de l’Unesco,
voulu avec résolution par le Président de la République, dès le 18
mars prochain, un acte majeur, qui fonde durablement la
reconnaissance européenne de notre système d’aides au cinéma,
et justifie pleinement l’acquis de la relocalisation des tournages, réussie grâce aux crédits d’impôt en faveur du cinéma et de
l’audiovisuel.

Agir, c’est faire prendre conscience de toutes les dimensions de
notre capital humain et créatif, de notre rayonnement culturel. Le 5
mars prochain, ici, rue de Valois, pour élargir et approfondir le
décloisonnement de la culture et le dialogue entre la politique, la culture,
l’économie et la société que je n’ai cessé d’encourager depuis que je
suis rue de Valois, ce que j’appelle l’alliance de l’immatériel et du
matériel, je lancerai ici ce que je n’ai pas le droit d’appeler, moi qui suis
respectueux du droit d’auteur, le « Davos » de la culture – si certains
d’entre vous ont de bonnes suggestions de nom, vous êtes les
bienvenus. La dimension européenne en sera un prolongement naturel.

Les talents et les métiers artistiques et culturels méritent cette
reconnaissance. Ce sera dans l’avenir une source de réflexions et de
propositions qui inscriront notre culture et ceux qui la diffusent dans la
dynamique du XXIe siècle. C’est la rencontre féconde, dans le respect,
là aussi, des libertés de chacun, du monde politique, du monde
économique, du monde culturel et artistique.

C’est enfin ouvrir, dans cette dynamique de réconciliation, le
chapitre tant attendu, tellement nécessaire, d’une vraie politique de
l’emploi dans le spectacle, qui repose d’abord sur les conventions
collectives, dont les premières viennent d’être signées – certaines à
l’unanimité des organisations d’employeurs et de salariés – et non plus
seulement sur la réforme du système d’assurance chômage. Celui-ci,
c’est certain doit être mieux adapté aux spécificités des pratiques
d’emploi des artistes et des techniciens du spectacle. Le nouvel accord
signé par les partenaires sociaux va dans ce sens. Il était nécessaire,
mais pas suffisant.

Avec l’engagement fort de l’Etat, par le Fonds de professionnalisation et
de solidarité, dont les allocations ont reçu une consécration législative,
le soutien à l’emploi dans le spectacle est désormais assuré par les
efforts conjugués : de la solidarité professionnelle, exprimée par les
conventions collectives ; de la solidarité interprofessionnelle, exprimée
par l’assurance chômage ; de la solidarité nationale, exprimée par le
Fonds de professionnalisation et de solidarité.

Des améliorations doivent encore, évidemment, être apportées.
Mais une page est tournée ; une nouvelle politique est construite
et ses bases sont solides.

Agir, c’est, grâce à la loi relative au droit d’auteur et aux droits voisins
dans la société de l’information, protéger et garantir les droits des
créateurs, en permettant le développement d’une offre légale nouvelle,
marquant l’avènement de l’ère numérique, qui concerne désormais
chaque média et chaque Français.

Agir, c’est créer, par cette loi, toutes les conditions pour que les
opérateurs et les distributeurs en ligne puissent offrir cette liberté
nouvelle, ce droit nouveau, l’interopérabilité.

C’est préparer dès aujourd’hui l’avenir du livre en 2010, grâce à la
réflexion prospective que nous avons engagée avec tous les acteurs de
ce secteur, et grâce aux moyens nouveaux que nous avons obtenus.

C’est permettre à la France de jouer un rôle moteur au sein du projet de
Bibliothèque numérique européenne.

C’est mener à bien les chantiers numériques que je vous présenterai ici
même mardi prochain.

C’est définir la stratégie de l’audiovisuel public par des contrats
d’objectifs et de moyens et conforter ainsi son avenir et son
développement, avec une maxime : faire toujours plus ! Evidemment, ce
n’est pas toujours facile d’y parvenir, mais, en, tout cas, c’est mon
objectif !

C’est, avec le lancement réussi de France 24, et celui de la
télévision numérique terrestre, qui a multiplié le nombre de chaînes
gratuites par trois, passant de six à dix-huit, préparer dès
aujourd’hui l’avènement de la télévision du futur, grâce au projet de
loi, adopté par le Sénat, qui sera examiné à l’Assemblée nationale à
la fin du mois, et qui placera la France en tête de cette nouvelle
révolution industrielle et culturelle, la révolution numérique.

C’est, dans le même esprit, celui d’élargir et de renouveler l’accès à la
culture, approfondir et prolonger notre action dans le domaine de
l’éducation artistique et culturelle, désormais inscrite dans le socle
commun de connaissances et de compétences pour tous les élèves
sortant du collège, en jumelant chaque établissement d’enseignement
avec une équipe artistique ou un lieu culturel.

C’est, dans ce domaine, l’un de ceux où ce ministère peut et doit jouer
un rôle clé pour l’avenir de notre pays, placer l’éducation artistique et
culturelle, qui est ouverture sur le monde, ouverture d’esprit, au coeur du
projet éducatif et le lier à la politique culturelle, pour rendre la culture
accessible à chacun.

Je voudrais remercier ici chacun et chacune d’entre vous. Chaque fois
que vous écrivez une ligne, que vous faites un reportage, chaque fois
que vous prenez du son, chaque fois que vous faites une image, chaque
fois que vous ouvrez une colonne à la culture sous toutes ses formes,
eh bien, oui, participez à cette mission définie par André Malraux :
rendre accessibles au plus grand nombre les oeuvres de l’humanité. Je
vous le dis pour vous exprimer ma gratitude.

Permettez-moi, en ce début d’année, de dire haut et fort que sans les impulsions décisives du Président de la République en faveur
de la Culture et de la Communication, sans les arbitrages
constants et positifs de Jean-Pierre Raffarin et de Dominique de
Villepin, jamais je n’aurais pu donner l’élan nécessaire à l’action de
l’Etat.

Être présent, certains diront omniprésent, ne suffit pas. Être soutenu
permet d’annoncer de bonnes décisions ! Et devant vous, je suis
heureux et fier de remercier, et le Président de la République, et les
deux Premiers Ministres, que j’ai servis et que je sers. Le défi de la
période qui s’ouvre, où j’ai bien sûr encore de nombreux projets à faire
aboutir, est de rendre possible l’addition des énergies et des talents, ce
qui suppose le respect de chacun. Et ceux qui n’ont pas à l’esprit cet
impératif, là aussi, de réconciliation, d’unité et de conjugaison des
efforts, ne serviront pas leur camp.

Parce que ma résolution et ma détermination à m’engager fortement
dans la campagne électorale me faisaient pressentir les frémissements
d’une polémique inutile à ce sujet, je tiens à vous confirmer très
clairement, après m’en être entretenu avec Nicolas Sarkozy, que la
nécessité de renforcer les liens entre la culture et l’éducation nationale
implique un renforcement du ministère de la Culture, qu’il n’est pas
question de supprimer, mais, bien au contraire, de soutenir dans son
ambition au service de tous les Français.

Son organisation – et ce qui lui est rattaché – devrait lui permettre de
renforcer son poids politique. Car la culture est bien une mission
régalienne de l’Etat.

Je préfère prévenir ceux qui seraient tentés d’entonner la vieille
rengaine du désengagement de l’Etat, en rappelant que depuis 2002, le
budget de la culture n’a cessé d’augmenter et que cette augmentation
s’est accélérée depuis 2004. Entre 1997 et 2002, les moyens de la
culture ont progressé de 300 millions ; entre 2002 et 2007, et en vérité
entre 2004 et 2007, ils ont progressé de près de 600 millions d’euros.

Quand j’ai rendu hommage à Dominique de Villepin et à Jean-Pierre
Raffarin, je sais très bien ce que je faisais : vous en avez la traduction
concrète. Oui, sous cette législature et avec cette majorité présidentielle,
la progression des moyens alloués à la culture aura été deux dans la
période précédente. Dire cela, encore une fois, n’est pas faire de
l’autosatisfaction, c’est tout simplement créer les émulations nécessaires
pour qu’à l’avenir, on fasse encore plus !

Passer de l’idéal de la culture pour tous, qui est à l’origine de la création
de ce ministère il y a près de cinquante ans, à l’objectif de la culture
pour chacun, aujourd’hui rendu possible par les acquis de la politique
culturelle et les défis des technologies, c’est en effet un programme
politique pour notre temps.

Ce ministère n’est plus le « ministère de l’impossible », comme on
l’a parfois décrit, mais le ministère du possible, comme le prouve
l’action que je suis fier de mener depuis trois ans et les projets que
je viens d’évoquer.

Cette définition du ministère fait écho à la campagne présidentielle qui
commence et à celle de Nicolas Sarkozy. Ce n’est pas un hasard. C’est
le fruit de l’action. C’est une volonté. C’est un engagement. Mon
engagement au sein de l’équipe de France qu’il a rassemblée, de la
dynamique qu’il a créée, au service des Français, pour faire valoir mes
idées et mes convictions.

On nous prédisait, et certains espéraient peut-être, une campagne
d’images, de slogans, une campagne virtuelle, sans débats de fond,
sans idées, sans projets. Je crois tout le contraire.

Le programme législatif de l’UMP, les propositions et les convictions de
notre candidat font une large place à la culture. Elle n’est pas et ne doit
pas être une fin de discours brillante, elle est le coeur même de notre
volonté d’action, de rayonnement, d’attractivité. Elle est le symbole de
l’unité nécessaire de la nation.

Parce que, loin de nous replier sur nous-mêmes, elle nous ouvre au
monde. Parce que la culture est une force. Force de la diversité, face à
la division. Force de l’identité, face à l’uniformité. Force du dialogue,
face à la cacophonie des ambitions. Force du respect, face à la haine et
au mépris de l’autre. Force de la fierté, face à la haine et au mépris de
soi. Force de la passion, face à l’indifférence et à l’abstention. Force de
l’esprit créateur et créatif, face à tous les matérialismes et à tous les
conservatismes. Force de l’intelligence et du coeur qui secouent, qui
dépassent les individualismes et les égoïsmes, pour forger un véritable
projet collectif, une espérance partagée, une nouvelle confiance, une
nouvelle alliance entre les Françaises et les Français de toutes origines,
de toutes les générations, de toutes les couleurs de peau, une nouvelle
énergie, pour une nouvelle réconciliation nationale.

Oui, la diversité culturelle une réponse décisive et positive à la
mondialisation.

La culture est source de liberté d’esprit, de liberté de conscience.

Elle est aussi source de nouveaux emplois, d’une nouvelle
croissance, d’une nouvelle attractivité, ouverture sur le monde,
main tendue à chacun pour renforcer la cohésion et la confiance de
la France, pour donner à chacun de nouvelles chances
d’épanouissement et de rayonnement dans le monde d’aujourd’hui.

A chacune et à chacun, bonne année !

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