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La gestion des grandes villes françaises passée au crible

Montpellier fait figure de premier de la classe avec une note de 16,96 sur 20, qui le hisse très nettement en haut du podium. Angers décroche une mention « bien » avec 14,30 sur 20. A lopposé, Strasbourg, qui recueille 4,74 sur 20, partage les derniers rangs avec Tours, Nantes, Marseille et Boulogne-Billancourt… A la Une

La gestion des grandes villes françaises passée au crible

• Trente-quatre des plus grandes villes de France notées en fonction de 4 critères, dont la réalisation des promesses électorales • Une année 2003 très moyenne • Montpellier décroche la mention « très bien »

 Au terme dun classement réalisé pour « Les Echos » par lagence de notation Public Evaluation System (PES), les 34 plus grandes villes de France (hors Paris et Mulhouse) ont réalisé une année 2003 tout juste passable en termes de gestion. Globalement, elles obtiennent à peine plus que la moyenne avec une note de 10,55 sur 20. Quatorze dentre elles natteignent pas 10 sur 20. Montpellier fait figure de premier de la classe avec une note de 16,96 sur 20, qui le hisse très nettement en haut du podium. Angers décroche une mention « bien » avec 14,30 sur 20. A lopposé, Strasbourg, qui recueille 4,74 sur 20, partage les derniers rangs avec Tours, Nantes, Marseille et Boulogne-Billancourt. La note délivrée par PES prend non seulement en compte des critères aussi classiques que le poids de la dette, la solvabilité de la collectivité et lévolution des impôts locaux, mais également la mesure des promesses faites en début de mandat et de leur réalisation ou non.
 

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