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Le sectarisme de la gauche revient au galop : bonjour l’amnésie du passé !

Jean-Pierre Raffarin et Nicolas Sarkozy ont parfaitement répliqué, en faisant remarquer que la gauche était amnésique… Aux questions d’actualité aujourd’hui à l’Assemblée nationale, deux députés socialistes – dont l’ancien Premier Ministre Laurent Fabius – ont invectivé le gouvernement en l’accusant de tripatouillage électoral et de gestion partisane de la fonction publique !

Rien que cela !

Jean-Pierre Raffarin et Nicolas Sarkozy ont parfaitement répliqué, en faisant remarquer que la gauche était amnésique.

Jamais autant de nominations politiques que sous le gouvernement Jospin alors que nous, nous avons à cœur de ne retenir que les critères de compétence : l’ancien directeur de cabinet de M. Jospin est aujourd’hui ambassadeur à Madrid, le directeur du Trésor qui a travaillé dans plusieurs équipes de gauche est toujours en fonction ; quant au directeur général de la Caisse des Dépôts qui vient de changer, il a accompli un quinquennat… il est donc normal qu’il soit appelé à d’autres responsabilités.

En ce qui concerne les équilibrages démographiques des cantons à Marseille pour éviter des distorsions de population totalement choquantes, nous ne faisons que suivre les recommandations du Conseil d’Etat qui avaient incité le précédent gouvernement à régler le cas de Lyon.

Il est loin le temps où Gaston Defferre avait grâce à ses ciseaux experts, pu être élu maire de Marseille sans avoir de vraie majorité

La gauche n’arrive pas à se reconstituer comme une force politique d’alternance crédible.

A l’instar d’Elisabeth Guigou dans son débat face à Nicolas Sarkozy, elle calomnie puis s’enfuit piteusement.

Là elle cherche à nous faire apparaître comme des sectaires, cherchant à manipuler le suffrage universel.

Nous qui aimons le terrain, le contact, la prise directe avec la réalité, nous n’avons pas peur des Français.

Nous voulons qu’à chaque niveau de responsabilité publique, corresponde un interlocuteur identifié, connu, totalement impliqué dans son mandat.

C’est pour cela que nous proposons de rapprocher le député européen des citoyens, en faisant que dans chaque région un ou plusieurs parlementaires européens incarnent l’Europe, animent le débat, rendent compte de l’exercice de leurs mandats.

On nous accusera là aussi de sectarisme, d’atteinte au pluralisme, alors que notre réforme avait été en son temps souhaitée par tous les partis politiques républicains.

La bonne foi n’est donc malheureusement pas la qualité la mieux partagée sur l’échiquier politique… Alors, nous répondrons du tac au tac avec la force et l’énergie que légitime notre sincérité politique !

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